J’ai beaucoup pleurer dans les débuts de mon abstinence, car j’ai commencé à me vivre moi pour vrai. J’ai dû apprendre à vivre toutes les blessures que j’avais enfouie pendant ma consommation. Aujourd’hui je suis heureuse, car j’ai pu apprendre à me découvrir et à faire la paix avec mon passé. Aujourd’hui il y a des journées moins belles, mais jamais aussi sombre que quand je consommais.
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Je me reconnais tellement dans ce que tu dis… j’ai l’impression que fumer est comme une façon d’éviter de passer du temps avec moi même des fois…
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